Angel Of Darkness
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Angel Of Darkness

Le mal tombe, les forces du bien remonte mais ou se trouve l'espoir perdu ?
 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-45%
Le deal à ne pas rater :
Four encastrable Hisense BI64213EPB à 299,99€ ( ODR 50€)
299.99 € 549.99 €
Voir le deal

 

 Kaoru Van Meadör

Aller en bas 
AuteurMessage
Kaoru Van Meadör
Assassin
Kaoru Van Meadör


Féminin
Nombre de messages : 19
Age : 31
Pouvoirs : Ceux qu'un assasin a...
Phrase fétiche : L'amour ne rime à rien si les sentiments sont incertains
Date d'inscription : 25/04/2007

Caractéristiques
Niveau: 10
Vos pouvoirs:
Amour/Amis:

Kaoru Van Meadör Empty
MessageSujet: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeDim 14 Oct - 12:32

Nom : Van Meadör

Prénom : Kaoru

Sexe : féminin

Age :17 ans

Profil : Kaoru a une épée,elle a aussi 2 éventails lui permettant de contrôler les âmes. Elle a une grande robe assez ancienne. Ses cheveux sont noir ébène et ses yeux sont bleu azur. Son teint rosé légèrement blanc est mit en valeur par son visage d'une extrême finesse.

Taille/poids :1m67 pour 50 kg

Caractère : Kaoru est optimiste,gentille voir adorable,intelligente et autonome mais elle est très calculatrice et peux se montrer manipulatrice. Elle n'aime ni qu'on lui fasse ses 4 volonté ni qu'on désobéissent à ses ordres. Kaoru est donc pour cela assez complexe.

Equipement : 1 épée et 2 éventails.

Alignement :aucun, elle agit selon son propre instinct

Rang : 1/3 ténèbre

Eléments : Vent, feu et les âmes

Attaques de votre personnage :
-Shikai no seishin'
-Ten'sai tamashii
-Kaze no namida
-Zagaratsu
-Nemeizara
-Revitalisation

Attaque ultime :
-Libération de l'âme céleste

Race : humaine

Classe d'armes : Assassin


Dernière édition par le Lun 5 Nov - 10:42, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Kaoru Van Meadör
Assassin
Kaoru Van Meadör


Féminin
Nombre de messages : 19
Age : 31
Pouvoirs : Ceux qu'un assasin a...
Phrase fétiche : L'amour ne rime à rien si les sentiments sont incertains
Date d'inscription : 25/04/2007

Caractéristiques
Niveau: 10
Vos pouvoirs:
Amour/Amis:

Kaoru Van Meadör Empty
MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeDim 14 Oct - 12:38

Kaoru Van Meadör

Le 26 Septembre 1498
« Ca y est tout est arrivé. Elle est revenue dans mes pensées, dans mes gestes... Moi qui pensais que tout s’arrêterait et bien non, tout recommence, encore et toujours. Elle est là omniprésente dans toutes mes nuits, toutes mes pensées, et je ne cesse, malgré tout le mal qu’elle cause, d’être fasciné par sa beauté. Mais maintenant tout est fini. La vie, la mort, plus rien n’a d’importance. Pourtant, elle en avait à mes yeux, elle est son insatiable envie de liberté. Voilà, je ne sais pas, je ne sais plus. Leurs savoirs sont partis, leurs espoirs aussi, ces preux mages à qui jadis nous eûmes confié nos vies. Mais elle, elle est ici encore et toujours, attendant le moment fatidique, le moment dans lequel tout le monde baissera sa garde. Mais moi, je ne la baisserais pas, malgré sa beauté, malgré ses facultés je resterais là, et je lui ferais face. Enfin je ne pense plus à rien est-ce de l’amour ? Je ne sais pas, est-ce de la peur ? Je sais que cela est loin de là. Je songe à l’avenir, et si elle n’arrivait jamais, si la guerre qu’elle avait amenée disparaissait, et si elle aussi disparaissait… Je me demande ce que serait le monde. Serait-ce sa fin ? Je le pense, serait-ce le début d’un autre ? Sûrement mais ce serait surtout ma fin. Si elle meurt, elle m’emportera avec elle dans les abysses les plus profondes et les plus froides de ces enfers. Ce monde sera chaotique, ça je le pense. Mais je pense aussi que la haine qu’elle éprouve est due en réalité, à un amour brisé. Serait-ce de ma faute ? Je ne sais, peut-être de la faute d’un autre ? On ne saura jamais, et personne ne lui demandera, enfin cela n’aura lieu que si elle reste en vie. De toutes les manières, moi je ne saurais jamais.
Ce sont ici mes dernières lignes, car je le sais, je le sens ma fin approche. Sa douce et âcre odeur m’enivre, je me sens comme entrainé comme pris au dépourvu, ne pouvant lutter. Enfin, Là voilà elle est là, la jeune et douce odeur âcre de la mort.
Adieu... »
Ce fut ses derniers mots, et son petit livret, quand à lui fut tacheté de sang. Il était là, enfin son corps l’était mais son âme était partit, elle aussi était là, elle venait de mourir. Avant de mourir, il lui avait planté une épée, oh pas une grosse, juste une qui était assez grande pour qu’elle puisse supprimer à jamais les péchés de cette traitresse. Il l’avait regardé, certes sans son âme mais il l’avait regardé mourir, se vider de tout son être et bien sur, il avait les yeux vides, sans âme… C’était finit pour les deux, il l’avait dit, qu’elle l’emmènerait avec elle, comme si leurs destins étaient lié… Chose assez bizarre mais tout pouvait se passer dans ce monde.

Le 29 Septembre 1498
«Nous l’avons retrouvé, il était étendu au coté d’une femme... C’est étrange j’ai comme la sensation que quelque chose approche de moi, comme si cette chose était loin mais proche. C’est forcément le dégout de toute cette horreur, cela faisait 3 jours qu’ils étaient enfermés. L’odeur était telle que même un homme atteint d’une malformation au niveau de l’odorat, enfin cet individu qui ne peut sentir les odeurs l’aurait sentit, c’était infâme, comme une odeur âcre qui vous donne la nausée et qui vous fait remonter votre cœur… Cela semble si probable, cela résonnait comme l’odeur de la mort. La même odeur que je commence à sentir. Cette sensation, je la reconnais, mais comment, c’est celle de la mort, comme si une vague d’air gelé vous arrachait les entrailles et qu’elle vous glaçait le sang. Ainsi, c’est bien Elle, sa sensation. Oui, c’est sur c’est bien elle. Elle me gèle le sang, et m’arrache mes entrailles, cela est tel qu’un simple mouvement de ma plume sur ce papier jaunâtre me fais trembler dans tous les moindres endroits de mon pauvre corps pétrifié par le froid.
Je le sens, elle va m’emmener avec elle, je ne sais pas quand, mais elle va le faire. Serait-ce de la peur que je ressens ? Oui je le pense et je l’avoue. Serait-ce de l’angoisse ? Je ne pense pas ressentir cela mais la peur se fait si grande et si puissante que je n’arrive même plus à penser. Elle est omniprésente dans mon esprit, dans mes gestes, comment cela peut être possible, la vision de la mort m’envahit, je me sens comme pris au piège comme un vulgaire animal que l’on traque sans trop savoir où il est. Ca y est, la voilà, elle arrive. Mes derniers mots sont là, sur cette feuille de couleur jaunâtre… Son odeur me prend, La peur me saisit, Adieu mes amis je vous reverrais peut-être si elle aussi un jour elle vous prend...
Adieu, et au revoir ma chère Ai...»

La revoilà, le même rituelle, une page jaunâtre tâchée par la couleur écarlate du sang. Tout recommençait, encore et toujours, une victime, puis une autre et encore une, nous n’eûmes pu compter le nombre qu’elle avait fait. Malgré sa douce et jeune odeur. Elle frappait sais prévenir, elle arrivait sans alerter mais quand elle tenait sa victime, plus rien ne pouvait la sauver. Tout était là, un intervalle de trois jours et une autre victime, à ses cotés, une page d’un petit livret, encore une page jaunâtre tachée par le sang…


Le 2 Octobre 1498
« Encore une victime, la seconde je pense, enfin, et deux fois, oui deux fois, nous eûmes retrouvé cette petite page jaunâtre tachée de sang. Serait-ce une marque de l’assassin ? Je ne pense pas, peut être que mon tour va venir, peut-être pas, enfin. J’ai trouvé ce carnet près du corps, il m’a comme envouté. Maintenant j’écris, il est formidable, c’est comme si toute mes idées étaient claire et que mon écriture semblait être celle d’un poète. Je ne sais pas si cela est dut au carnet ou bien à mon don pour l’écriture.
Je sens une odeur, oh non pas une grande odeur juste une petite, une douce mais âcre odeur, dans les deux pages il y avait marqué qu’il sentait tout les deux une odeur douce mais âcre. Je suis assis, certes, mais qu’est ce que cela à avoir avec mes écrits, je ne sais, et je ne cherche pas. Elle devient omniprésente, oui je vois une scène comme cela de ma propre mort. Comment est-ce possible ? Je ne sais pas. Eprouverais-je de la peur en sentant cette odeur ? Je pense que cela n’est pas ce sentiment que je ressens en ce moment. Enfin, ça y est elle me contrôle presque, mes gestes sont plus lents, je ne peux me contrôler mon esprit est comme en train de partir. Cette odeur, elle est comme celle de la mort. Non impossible, comment, comment peut elle me prendre, elle me pétrifie, mes jambes, mes jambes ne m’obéissent plus. L’odeur est de plus en plus vive, elle me prend, me saisie, et m’enlève la moindre pensée positive. Elle lit en moi comme dans un livre, ça y est je sais, je sens et je suis près. Tout doucement, elle me prend, mon regard se fait noir, je ne respire plus. Elle m’a pris cette traitresse, l’infâme traitre qui jadis nous eûmes aidé. Ah la voilà l’odeur douce et âcre de la mort ! Oui, je la sens et la vie je ne sens plus rien, si juste un vent froid très froid m’envahir… Je crois que c’est l’heure, je vais te retrouver, toi l’enfant à qui jadis j’ai volé l’innocence et la pureté…
Adieu, monde infâme et obscure… »


Le 5 Octobre 1499
« Une victime, de moins, ou une victime de plus, nous n’eûmes plus jamais de nouveau mort, quand au carnet, on ne sut jamais où il était. Juste trois page jaunâtre tâchée de sang. Pourtant je le sais, il y a quelque part une personne en possession de ce carnet, et si jamais elle écrit une chose dedans, l’hantise recommencera.
L’hiver approche, elle est et restera présente, je raconte juste son histoire comme un prêtre raconte celle de Dieu. Qui je suis ? Je ne sais pas, qui elle est ? Ca je le garde pour moi, elle est belle, mais sinistre, grande et puissante, et celle qui la possède a de la chance. Tant de gens la veule, qu’il est impossible de la voir. Maintenant c’est à mon tour d’écrire dans cette petite page jaunâtre. Mon tour aussi va venir, comme il est venu pour les autres. Je dois m’y résigner malgré toute ces morts, je pense et cela sincèrement qu’elle n’est qu’une illusion. Elle nous amène sûrement vers un monde plus doux et plus beau que celui ou nous vivons. Enfin tout cela, comme si ce cahier enfin ses pages jaunâtres étaient maudites. A chaque fois c’est la même chose, on prend le puis on meurt, personne ne se souvient plus de vous seul les gens qui vous on découvert, enfin après les gens meurent. Cela semble si fantaisiste mais si réaliste à la fois. Voilà, je pense avoir dis ce que je pensais de tout cela. Elle ne va pas tarder, je dois juste finir mes mots, je ne tremble pas, je lui fais face, elle n’a cas m’emporter cette lâche. Elle tue pour se venger mais de quoi et de qui, je n’ai jamais connu d’affaire pareil. Je suis son Dieu et elle est ma Déesse, mais elle me contrôle, je sais qu’elle n’est pas loin, elle guète mes moindres gestes, mes moindres paroles. Enfin, c’est finis je clos cette page, elle est là elle me prend l’épaule...
Izumi, ma chère Izumi est venue me prendre. Sa couleur argenté je la sens contre moi, sa beauté je la vois. Je vous souhaite de la rencontrer un jour, mais de ne jamais croiser sa couleur. Adieu et bonne chance pour la fin du monde... »

Il était maintenant sa victime. Il partit, et l’amour qui lui portait aussi. Pour lui tout était fini. Mais le reste des personnes pour vivantes ?
Un éclair puis l’orage, la pluie commença à tomber sur le beau paysage. C’était l’automne.
Il y avait une ombre elle tenait comme une épée, oui c’était une épée. Elle était grande, fine et majestueuse, c’était Elle. C’était bien Inuzukima, l’épée mère, l’épée qui dans le passé avait permis a beaucoup de monde de contrôler la force d’Akamhizu. Enfin tout était finis, elle allait partir cela se voyait dans son regard. Elle l’avait tué donc elle partait. Un sinistre silence trahissait les pensées des personnes du village. Tous étaient réunis pour enterrer le défunt. La pluie était battante, tous vêtus de noir. Ils attendaient là comme si une récompense allait leur être remit pour être venu. Ils sont si stupides. La nuit tomba, son manteau argenté aussi, mais des nuages les cachèrent. Ainsi finit le mois d’Octobre de l’année 1499
Revenir en haut Aller en bas
Kaoru Van Meadör
Assassin
Kaoru Van Meadör


Féminin
Nombre de messages : 19
Age : 31
Pouvoirs : Ceux qu'un assasin a...
Phrase fétiche : L'amour ne rime à rien si les sentiments sont incertains
Date d'inscription : 25/04/2007

Caractéristiques
Niveau: 10
Vos pouvoirs:
Amour/Amis:

Kaoru Van Meadör Empty
MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeDim 14 Oct - 12:38

Le 23 Septembre 1642
« L’été est passé, c’est un pas de plus vers ma liberté. Je viens de trouver ce livret il est ancien, une centaine d’année, rouge comme le sang, c’est assez rare de nos jours. J’ai trouvé 4 pages de journal de dans, datant de 1498 et de 1499 ça fait un bail qu’il existe, Aiko et Shiizu vont être jalouses enfin, ah oui je me présente, Kaoru j’ai 16 ans, mon passe temps le combat, et oui mon cher journal tu seras mon confident. Je crois ouai je viens de trouver une épée, la classe, toute argenté, avec un ‘‘Manche ’’ doré. Enfin bref, une de mes ancêtres étaient assez doué à l’épée. J’ai hérité de son don enfin je suis assez fière de moi. Enfin voilà le moment tant attendu, je vais aller en forêt m’entrainer, j’ai trouvé ma nouvelle arme je vais tester sa force et sa précision. Elle ressemble un peu à l’épée de mon ancêtre enfin je dois sûrement avoir tord car la force de l’épée de mon ancêtre dépasser le raisonnement humain… J’écrirais la suite après ou sur une nouvelle page. Bon je l’écrirais sur une autre page.
Je vais avec l’espoir dans l’âme m’entraîner à l’épée céleste que m’a donnée le destin. Ainsi voilà les derniers mots sur cette petite page de la future légende de l’assassinat. Je compte bien me faire connaître malgré les choses que j’ai faites par le passé. L’argent, l’amour, la passion tout cela n’est rien s’il n’y a pas une personne qui empêche de les avoir. »

La jeune femme était si belle, ses cheveux étaient noirs long elle était magnifique son style assez noble. Quand a ses yeux il était d’un bleu inouïe. Elle partit, l’épée dans le dos, telle une guerrière des temps modernes. Kaoru, était une jeune fille remarquable, tant dans son travail que dans la vie active, elle était certes assassin mais elle était gentille, elle était même adorable. Mais elle avait son caractère, et il ne fallait surtout pas dépasser les ‘‘bornes’’. Elle était assez compliquée, elle était calculatrice oui très calculatrice. Elle avait toujours un plan pour pouvoir se tiré d’affaire, à croire qu’elle savait ce qui allait se passer. Elle descendit de sa monture étant arriver devant la forêt. Elle s’entraîna, même si en la regardant elle ne faisait qu’un avec son épée. Elle la maniait comme si elle l’avait toujours fait. Comme si depuis toujours elle l’avait à ses cotés. L’épée se nommait Inuzukima, elle était habitée par un esprit, un esprit pas comme les autres… La jeune Kaoru la mit pointe vers le ciel puis ferma les yeux et joignit ses deux mains. D’un seul coup, et comme si elle connaissait cette technique depuis toujours, un flash de lumière enfin non plutôt un éclair frappa l’épée. La jeune femme commença à reculer face à cette monstrueuse puissance. Elle n’arrivait pas à contrôler toute cette puissance. Kaoru ouvrit les yeux elle n’était pas dans la forêt, elle était dans un lit, l’épée à ses coté. Un jeune homme poussa la porte, il sourie puis s’assit près d’elle.

-Ca y est tu t’es réveillée petite, je suis ravis. Oh excuse moi je me présente Van Meadör, je suis qu’un modeste enfin un mercenaire dis moi quel est ton nom jeune fille

-D’où vous m’enlevez de mon entraînement non mais vous n’êtes pas bien… Où est mon épée ? Et puis qu’est ce que ça peut vous faire comment je me nomme je ne vous connais pas …

-Oh Jeune fille du calme, et je ne te permets pas de dire cela. Réponds juste à ma question Quel est ton nom ?

-Kaoru Izumi, et maintenant répondez aux miennes.

-Bien, Alors Kaoru ton épée est au pied de ton lit, et si je t’ai enlevée de cette forêt c’est que tu étais gravement blessée, alors j’attends des excuses de ta part.

-Jamaiiiis, maintenant laisse moi partir l’avorton

-AVORTON ?? Tu me traites d’avorton non mais tu te calmes. Sans moi tu serais morte. Sale morveuse, je te jure que si jamais tu oses m’insulter encore une fois je ne te raterais pas. Ai-je été assez clair ?

Le regard du jeune homme devint noir puis il se leva et partit, il monta dans une pièce. Kaoru qui s’en voulait un peu de sa réaction le suivit enfin avec beaucoup de distance. Elle entrouvrit la petite porte puis elle vit le jeune homme allongeait sur le ventre lisant un livre. Elle souffla puis prit son courage à deux mains, et toqua à la porte…

-Je peux entrer ?

-Oui mais si tu veux me présenter tes excuses sinon parts de cette maison.

-Bien alors je m’excuse de vous avoir fait du mal

-Excuse accepter, aller rentre Kaoru

La jeune fille s’exécuta, elle rentra puis s’assit au coté du jeune homme. Il commençait à se faire tard, les parents de Kaoru allaient s’inquiéter. Mais à quoi bon partir, elle ne savait même pas où elle était. Elle passerait donc la nuit ici…
La nuit était maintenant bien tombée. Le jeune homme l’avait amenée sur une colline non loin de là. Comme elle était endormit, il l’adossa contre un arbre, la nuit était magnifique, les étoiles scintillaient même plus que le soleil ne le peut. Mais le regard du jeune homme était tourné vers une autre étoile… Il l’a regardé avec désir, comme si cette étoile était la seule qui exister devant ses yeux.
L’étoile se réveilla, la couleur de ses yeux sortait encore plus dans la nuit. Il la regardait encore et toujours, et toujours de la même manière. La jeune fille regarda autour d’elle. Elle avait peur, et ne savait où elle se trouvait. Elle se leva, la main du jeune homme attrapa celle de la jeune femme, il la tira vers lui, dans ses bras, et l’embrassa. Elle resta sans rien faire, le regardant et se serrant contre lui. Elle ne luttait plus, elle ne luttait pas. Un vent glaciale se leva, les deux protagonistes s’enlacèrent mais pas pour longtemps. L’odeur revint, plus forte que les autre fois. La jeune femme se leva, et commença à courir, comme si elle savait exactement ce qui se passer. Elle se retourna, le jeune homme, il était resté là bas, l’odeur c’était celle de la mort, elle devait faire demi tour, mais si, si c’était elle que la mort venait chercher, elle devait l’affronter mais avant elle devait prendre son épée, donc retourner là bas. Elle fit donc demi-tour puis fonça en ligne droite. Du brouillard, il y avait beaucoup de brouillard, elle le chercher désespérément criant son nom. Elle trébucha sur une masse, c’était lui, il était allongé par terre. On aurait dit qu’il était mort, non il respirait, il dormait, ou il était inconscient. Elle s’approcha le mit sur son dos et pris son épée, elle commença à courir mais avec le poids du corps, elle trébucha et tomba à terre… C’était trop lourds pour elle, elle n’avait que 16 ans elle ne pouvait pas supporter et le poids de l’épée et celui du jeune homme. Elle se redressa tant bien que mal à l’aide de l’épée, mais elle était à bout de force. Elle retomba à terre. La jeune femme se réveilla, et vit le jeune homme couché, il avait du sang qui coulait. Impossible, l’épée, elle était enfoncée dans l’estomac de Van Meadör… La jeune femme eue le réflex d’enlever l’épée de l’estomac puis commença les soins, du tissu, de l’eau et des feuilles. Elle commença par nettoyer la plaie, puis à l’aide des feuilles qu’elle avait préalablement mâché elle l’est mis sur la plaie, elle se concentrait, la technique que lui avait apprise sa mère pour soigner les blessures, elle devait la réciter…

-Shikai no seishin’

La jeune femme tomba par terre, la blessure commençait à peine à cicatriser, le jeune homme reprit connaissance, la jeune femme, par terre mais le sourire aux lèvres, elle avait réussit enfin, malgré la douleur dût aux force de la technique. Du sang commença à couler de son abdomen, elle savait que cela pouvais être violent mais pas à se point. Le jeune homme se leva malgré le mal, il mit Kaoru sur son dos puis commença à marcher, il devait absolument l’amener chez un médecin.
Cela faisait 1 heure, elle était presque morte, ils arrivèrent devant un médecin, un alchimiste, elle avait perdu beaucoup de sang, et lui était aussi mal en point. Il l’a recousu puis il soigna le jeune homme. La jeune femme se redressa tant bien que mal, malgré la fatigue. Cela faisait deux jours qu’elle dormait. Elle se redressa, et vit le jeune homme assit près d’elle, mais endormit…
Elle s’assit sur le lit, puis commença à descendre, la porte s’entrouvrit…

-Vous ne devriez pas descendre Demoiselle, restez donc vous reposez

-Impossible, je dois retrouver mes parents enfin voilà, laissez moi partir

-Et lui j’en fais quoi ?

-Gardez le avec vous, et dîtes lui que je suis retournée chez moi

Le jeune homme se réveilla et vit partir la jeune fille, il se rendormit et se réveilla une dizaine d’heure après…

-Où, où est Kaoru

-Vous voulez parler de la jeune femme, elle est partie chez elle.

-Je dois la rattraper

-Non restez là, elle m’a dit que vous deviez rester avec moi

-Je vous en supplie laissez moi y aller

-Impossible je vous dis…

Le jeune homme regarda l’alchimiste, puis le poussa contre le mur, il agrippa son manteau et partit en courant. La blessure lui faisait encore mal mais pas autant qu’avant. Il retrouva son chemin. Il retrouva la colline puis fit le chemin jusque chez lui, puis retrouva la petite forêt. Il traversa la forêt, tomba a terre plusieurs fois, mais toujours il se releva. Une maison, un village, laquelle était celle de Kaoru… Des visages des centaines de visages, la pluparts inconnu tous même. Mais peut importait, il scrutait toujours, Kaoru son visage, il se releva puis commença à courir. Vers elle, vers sa beauté, elle se retourna, puis sourie, un homme, lui prit la main et la tira, il sortit une épée. Le choc fût fatal… Le père de Kaoru venait de le tuer, l’épée dans le cœur, il tomba à terre certes mais le sourire aux lèvres, il avait retrouvé sa promise avant de mourir… Elle poussa son père puis sortit l’épée du cœur de son promis… Un mouvement une parole et un mort… Elle rentra chez elle prit les deux éventails puis partit, sortit de la ville devant la forêt puis, planta l’épée devant elle, elle prit les deux éventails dans ses mains.

-Libération de l’âme céleste

Une masse noire, une âme, l’âme d’un Shinigami, l’âme du Shinigami, elle l’avait libérée et elle le contrôler, il était au dessus du village du vent, puis du feu, elle le contrôler elle le laissait faire les techniques qu’il voulait, le village, prenait feu, mais elle n’en prenait pas compte. Tout se qui comptait était son propre plaisir. Encore et toujours le même sourire. Elle regardait avec satisfaction le village brûler, l’odeur âcre. Pourquoi faisait-elle cela, le corps de son bien-aimé était encore dans le village, est-ce l’ardeur de leur amour ? Personne ne le savait mais en tout les cas personne ne se risquerait à lui demander.

Cela faisait maintenant un an qu’elle était partit, ayant pris le nom de son bien aimé pour nom de famille, elle continua sans relâche à se venger, choisissant ses victimes. Elle avait arrêté depuis deux mois et pour cause, elle était maintenant rechercher par un chasseur de prime, elle devait échappée à ses griffes et retrouver un peu de repos en même temps sans rester trop longtemps dans la même ville…
Revenir en haut Aller en bas
Kaoru Van Meadör
Assassin
Kaoru Van Meadör


Féminin
Nombre de messages : 19
Age : 31
Pouvoirs : Ceux qu'un assasin a...
Phrase fétiche : L'amour ne rime à rien si les sentiments sont incertains
Date d'inscription : 25/04/2007

Caractéristiques
Niveau: 10
Vos pouvoirs:
Amour/Amis:

Kaoru Van Meadör Empty
MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeDim 4 Nov - 10:36

Le jour de départ…

Bien sur tout n’était pas rose dans ce bas monde qu’était Ëstarigär. Les rues étaient parfois pleine de monde et souvent. Oh! Oui très souvent il n’y avait pas que de simple passant, des assassins, des nobles et même parfois des guerriers. Cela était très rare de les voir car l’entrée de la ville était très surveillée plus que le palais en lui-même. Seules quelques personnes avaient le droit d’entrée dans la tour d’Exara. C’était surtout sur invitation que les personnes pouvaient entrer. La raison était gardée, mais La Raison on la savait. Le pourquoi du pourquoi non mais la Raison oui. Tout le monde le savait sans que personne ne le sache. Tout le monde le sentait sans que personne ne le sente. Personne ne l’espérait mais tout le monde espérait. L’odeur sans odeur était omniprésente, le risque que les gens couraient n’était plus mais leur peur était tout comme l’odeur encore présente. La pluie vint le beau temps partit, l’amour aussi. Tout comme chaque matin ils se levèrent, tout comme chaque soir ils se couchèrent. Ainsi était la routine de ceux qu’on appelait Personne, ainsi était la vie de ceux qui était ici. Tout le monde savait mais personne ne s’en apercevait. On la suivait, puis la perdait de vue, puis on la retrouvait, et la reperdait. Ainsi et oui, ainsi était la vie de chaque personne. Faite de raison et de folie, de passion et d’envie, d’amour et de haine autant que la vie aime la mort et que la mort haie la vie. Tout cela ne résume qu’une partie de sa vie, la jeune et jolie, L’Insaisissable et Adorable, l’amertume même était loin de sa vertu. L’envie qui la saisissait était ici, l’amour qu’elle avait perdu n’était que poussière. La seule chose qui restait encore debout c’était Elle. L’Immatérielle, l’Imperturbable, l’Invraisemblable, la Mystérieuse, la Belle, la Douce, la Divine tout ces mots était presque imparfait pour la perfection qu’elle incarnait. Elle était ce qu’elle n’avait jamais était. Tous les mots que l’on pouvait lui adresser ne servait qu’à embellir sa beauté. Tout cela ne rime plus à rien si elle ne dit plus rien, son odeur était la, la leur aussi, mais celle qui avait triomphé était une odeur que seule la Mort connaissait.

Le soir était plein d’étoile, les larmes de la jeune femme, brillait plus qu’une lame. Tout en avançant elle était, et restait ici et là, vagabondant comme une lettre entre les mains des gens d’un simple et tout petit minuscule village. L’amour, la haine plus rien n’a d’importance tant qu’elle et sa beauté sont gâchées par des larmes d’amertume sans âme. La beauté de cette Femme était comme une fleur qui s’épanouissait au soleil, plus la lumière était plus ses couleurs étaient. Mais cela commençait à faner, car depuis l’annonce que lui avait faite, elle ne pensait qu’à une seule chose s’excuser. Elle lui avait fait mal mais pire encore cela l’avait blessé dans l’âme. Cela lui était insurmontable, il lui avait dit, ce qu’il pensait, mais elle, elle s’était tu. Sans rien dire elle avait continuer, jusqu’à ce jour, ou elle le su, depuis elle s’en voulait, elle s’en voulait de ne pas pouvoir changer d’avis, mais qu’est ce qu’elle perdrait a changer d’avis, peut être tout peut être rien, c’ était cela qui lui faisait peur, de ne rien savoir cela l’effrayait. Mais le pire pour elle s’était de savoir qu’il était triste… Elle s’en voulait même avant qu’on lui dise mais moins qu’après qu’on lui ait dis. Voilà pour elle un sens de sa vie, la tournure des évènements qu’elle redoutait était arrivée. Tout cela à cause d’un simple « Je t’aime » cela lui paraissait invraisemblable. Elle pensait a une simple solution mais cela était impossible… Comment l’annoncée, tant pis elle le ferait après… Elle venait de s’en rendre compte de ce qu’elle voulait mais elle voulait en être sur… Tout ce qu’elle voulait c’était redevenir comme avant une simple jeune femme, pas ce qu’elle était maintenant… L’amour l’avait fait changer, mais lui avait apporté aussi plein de malheurs. Elle était l’une de ces femmes qui sans le faire exprès s’attirait toujours plein d’ennuis lorsque leur cœur était pris. Sans doute un caprice des Gens d’Haut. Mais pourquoi elle et surtout pourquoi cela. Elle qui ne voulait rien mise appart qu’on la laisse tranquille. De toute les manières cela ne s’arrêterais point ici. Elle aurait surement d’autres ennuis pas forcément par rapport à ses sentiments mais par rapport à ses fonctions. Elle disait toujours qu’elle pouvait se sortir de n’importe quelle situation mais la seule dont elle ne pouvait sortir c’était celle là. Elle ne trouvait aucune solution par rapport à son problème de cœur. Pourquoi on ne savait pas, mais à cause de qui çà tout le monde le savait. Un jeune et magnifique jeune homme la courtiser alors que son cœur était pris par un défunt. C’était horrible pour elle. Elle ne pouvait choisir, entre une promesse et une envie. Le jeune homme lui en voulait, cela se voyait quand elle lui demandait s’il allait bien il ne lui répondait jamais ou presque. La jeune femme s’en voulait encore et encore et encore… Elle ne dormait pas, et même comme à chaque fois qu’elle n’allait pas très bien, elle écrivait mais cette fois si les mots lui manquait. Elle sortit, dehors la pluie était battante… De nos jours cela est très rare, mais bon comme tout n’était pas très normale dans ce monde si tout pouvais passer. La pluie ne laissa jamais la place au soleil, elle laissa place a la nuit puis recommença de plus belle.
Les jours passaient, ils se ressemblaient certes mais une seule chose changeait entre chaque jour, la peine de Kaoru devenait de plus en plus grande.
La Raison de la raison était mystérieuse mais la raison mère tout le Monde la connaissait sans la connaître, comme on connaît le nom d’un plat sans cherché le pourquoi du comment et aussi sans regarder la nature, les composants,… Voilà comment on connaissait le Monde de nos jours, c’était certes très bien mais aussi nul qu’un assassin sans mission… L’heure de l’Heure avait sonné, le temps du Temps était fini, la vie de la Mort avait gagné mais le sens du Mot lui avait perdu… Tous ces mots sont certes à la suite mais le sens est inexact, le sens du sens est confus et l’âme d’une âme est nulle sans qu’elle soit nulle. L’amour sans amour c’est de l’Amour amoureux, la haine sans haine c’est de la Haine impropre, la lumière sans soleil c’est de la lumière sans en être… Tout se repoussait et prenait dans une dance si mélancolique que même le Saint des Saints ne saurait quoi faire. L’amour et la Haine s’aime, la Vie et la Mort se prennent, la Lumière et l’Obscurité s’éclairent, la Raison et la Folie se serrent. Telle est la Destiné de la Destiné. Sans nul doute vous souhaitez que l’on vous conte la suite, mais passons d’abord a se que l’on nomme Ensuite…
Kaoru était assise, sur un des bancs, elle regardait l’œil fuyant les gens passant et repassant devant elle. Elle était assez fière d’elle-même un peu trop parfois… Elle attendait ici et la comme le ferais n’importe quel passant… Elle ne connaissait aucune des villes de ce pays… Elle venait d’un autre pays, Mëandor était un pays très loin d’ici, et il était qu’une simple enfin que des îles. Cela lui avait pris assez longtemps pour venir, elle qui n’était habitué qu’à la cité moderne à ses yeux elle était retombée aux temps de son ancêtre.

*Ces villes sont si petite, je me demande si, je me demandais quoi déjà…*

Elle se leva puis partit, une forêt, un jeune homme, il ressemblait à Meadör… Cela oui ce visage ses traits si fin… Une jeune femme, dans ses bras, elle comprit non ce n’était en aucun cas Meadör. Un bruit, un éclair, oui la pluie allait tomber. La jeune femme commença à courir, puis Kaoru la suivie. Elle ne savait pourquoi mais cette jeune femme la captivé. Elle regarda, caché derrière un buisson de fleur, la jeune et jolie prétendante. Elle savait, elle commençait à sortir l’épée, son instinct d’assassin remontait… Du sang, ici, là, partout, sa couleur, Oui! Oh, oui tout le monde aimait cette couleur, écarlate, jolie. Tout comme les prunes, les pommes, et tous ces fruits… Nous aimons oh on ne pouvait plus, nos cœur s’emballaient de plaisir, l’écriture était dur, je n’en peux plus aider moi… Ces mots sortaient de la bouche de la jeune morte… Il ne restait que sa Chevelure… Blonde, avec quelques reflets dorés, elle envoûte cette chevelure, le ton calme, oui il revient, les cœurs se relâchent, de toute façon elle ne revint… La joie, elle se voyait… La joie, oui, la belle joie que de voir ce corps inanimé, ainsi, et oui, ainsi elle les aimait ces petites pestes. Voilà, la vraie vie, le vrai visage d’un doux ange… Est-ce un ange ? Oh! Vous vous trompez, est-ce un diable ? Je n’irais pas jusque là, mais elle est et restera la Femme dont tout le monde, un jour craindra. Elle ne voulait ni être chassé, ni être accepté comme un chef… Elle voulait et ne voulait pas. Je ne pense pas raconter toute son histoire et chaque combat, je pense juste faire de cette femme, la Femme que tout le monde craindra surtout par son nom…

L’incident de la Raison

C’était un soir comme un autre en apparence, mais pas pour Kaoru. Elle allait enfin connaître la joie que procure une cérémonie. Elle en était sur maintenant, elle allait être nommée comme Assassin. Son rêve était là, devant ses yeux, mais il était éphémère. La beauté de l’atmosphère était aussi une lourdeur infinie. Un bruit, comme des coups de poings dans une porte, tout le monde se retourna. Une, deux trois, quatre,… une dizaine non une centaine de personne à terre, tous dans un bain de sang. Il coulait, coulait, tel un fleuve, des méandres, des lignes droites, puis des méandres et encore des lignes droites. Kaoru s’assit, regardant le sang coulait vers elle. Elle souriait, leva la main, puis pris l’épée, elle se releva, il y avait encore beaucoup de monde, tous terrorisés par la vue de tous ce sang, elle se leva en chancelant, un sourire oui, un magnifique sourire, elle s’approchait. Un, puis deux puis trois puis quatre… Des dizaines et des dizaines de coups d’épée, du sang, des dizaines de litres de sang. Ce liquide rouge qui remplit notre cœur, qui enivre nos pensée qui nous fait danser, chanter jouer… Ce liquide qui nous ravis quand on le voit, ce liquide divin, ce liquide qui pour le moment était salit par d’affreuses personnes marchant dessus. Kaoru, son sourire disparaissait petit à petit, Ils avaient bâclé son travail… Le rouge était gâché. Tuer, il fallait tuer les parjures, ces traitres qui trahissait le sang, ces traitres qui le salissait. Ces sales vermines, ces parasites, ces bon à rien, ces nuls… Les mots manquaient ou ils étaient trop vulgaires pour être écrit. Mais tout ce que l’on pensait d’eux était juste. Ils ne servaient à rien si ce n’est qu’à pourrir le monde. Passons à la suite de l’histoire.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Kaoru Van Meadör Empty
MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Kaoru Van Meadör
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Angel Of Darkness :: Avant Tout :: Presentations :: Présentation Validé-
Sauter vers: